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L'antiquité chrétienne à Rome

di Emilio Venditti

 

FrançaisDe la première antiquité chrétienne à Rome, en parlent dès l'origine les historiens latins Cornèlius Tacitus, Caius Svetonius, Tertullianus. L'Evangile, la Bonne nouvelle, recueillie par un petit group juif a Jérusalem, arrive bientôt à Rome, centre de l'empire, qui par sa position stragétique dans la Méditerranéen, en favorise la diffusion. L'idéal chrétien, son culte de l'unique Dieu, son message d'amour et d'humilitè qui abaisse et réhabilite l'homme, sont à la racine de son succès et de son épanuissement tout d'habord dans l'Urbs, la ville de Rome .

L'omnipotence de l'Etat, disposant de tout l'appareil légal et de la force, contrarié par la nouvelle doctrine, chèrche avec tout moyen d'en rayer et étouffer l'expansion;  mais la communauté chrétienne malgré les persécutions, dès le premier siècle, voit enfin capituler le pouvoir .  Au moment où Rome semble s'effacer de l'histoire, c'est la vie naissante du christianisme qui en fait la Ville Eternelle et recueille  ce qui méritait de survivre  de son oeuvre. 

Rome possède ancore, après deux milles  ans, remise à jour par la science historique et archéologique, tous les maillons de la châine  qui relie le monde moderne à la génération apostolique et au Christ.   L'émotion pour le fidèle qui s'approche à Rome est poignante d'y retrouver  intègre la mémoire héroïque de ses ancêtres dans la foi.  Les vestiges les plus importantes qui peut aujourd'hui  offrir la ville de Rome aux visiteurs et aux pélerins, résident principalement aux Catacombes, mais non pas exclusivement. 

Les Catacombes à Rome

Les Catacombes, cimetières souterrains en usage aux premiers siècles de l'ère chrétienne, situés principalement dans la banlieu de la ville, forment autour  de Rome un réseau évalué à plusieurs dizaine de kilomètres.  L'expression "ad catacumbas", (au ravin) désignait anciènnement un simple lieu, une petite nécropole près de Saint Sébastien sur la voie Appienne, fréquentée dépuis le Moyen Age par les pèlerins.   Ce lieu donna son nom de "Catacombe" à tous les autres cimetières.

Les chrétiens et les juifs, répugnant à incinérer les corps après la mort comme il était en usage chez les payens, préferaient l'inhumation, favorisant ainsi le developpement des catacombes pour la sépulture des leurs fidèles.   

En synthése, la catacombe se compose de couloirs et galeries souterraines, même à plusieurs étages, reliés par des éscaliers;  des hypogées, petites chambres en certains cas pour un souci de culte.   Le logement des dépouilles mortelles était en grand majorité composé par les "loculi",  simples alvéoles allongés dans la paroi à mesure du corps du défunt.  Moins nombreux étaient les "arcosolia",  pour la plus part dans les "cubicula", tombes formées par un plan surmonté d'un petit arc, souvent embelli avec des peintures et décorations à théme sacré et biblique. 

Persécutions et foi à l'époque des Catacombes

Parmi les émotions les plus fortes que Rome offre aux touristes et surtout aux pèlerins que de tous les pays du monde arrivent chaque jour dans cette ville, il y a sans doute le moment de la visite aux catacombes.   On y retrouve intacte dans ces lieux, la mémoire vive de l'époque tragique et en même temps glorieuse des perscutions impériales contre les chrétiens et le touchant souvenir  du témoignage de foi des Saints Martyrs.  

L'historien latin Suetone rapporte le premier que dès l'année 49, des juifs furent expulsés de Rome à suite de polémiques sur le Christ.  Mais les premiers actes sanglants contre les chrétiens se placent sous Néron.  Fameux son édit  "cristianos esse non licet".

Bien que inégales et discontinues, les périodes  plus difficiles pour les chrétiens furent causés par l'édit de l'empereur Septime Sévère en l'année 202 contre les convertisseurs.  Les édits de Dèce en 250 prescrivant le contrôle du loyalisme religieux, celui de Valérien contre les associations illécites et ceux du 295 et 303 de Dioclétien, les plus cruels, visant à l'extintion totale du christianisme.   

Même si les catacombes étaient principalement lieux de sépulture, néanmoins étaient aussi lieux de prière.  Il faut repousser, parce que pure fantaisie, le dit que les catacombes ayent pu servir à cacher l'Eglise durant les persécutions, qui d'ailleurs furent inégales et discontinues. 

 

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